Pourquoi devenir franchisé Astikoto?
Interview d'un investisseur dans les centres de lavages Astikoto
Arnaud Juton, 45 ans, a commencé sa carrière en tant qu’artisan électricien pendant 10 ans, avant d’investir dans l’immobilier commercial et les panneaux photovoltaïques. Il a créé son premier centre Astikoto en 2013, le deuxième en 2015. Il a ouvert son 3e centre en avril 2019.
- Vous venez d’ouvrir votre 3ème centre de lavage avec la franchise Astikoto : avec autant de passion depuis votre intégration dans ce réseau ?...
J’ai ouvert mon 3e centre à Ancenis, cette année en avril, en saisissant une opportunité sur un terrain qui s’est libéré alors que je l’avais repéré depuis plusieurs années. Un emplacement proche de chez moi. Après les 2 premiers centres qui marchent très bien, j’ai eu envie de réinvestir. A court terme, les premiers amortissements vont s’arrêter et je vais pouvoir commencer à en vivre à 100%.
Ce que j’aime : réseau à taille humaine, un bon relationnel avec le franchiseur, l’écologie qui correspond à mes convictions.
J’aime aussi le rapport avec les clients qui viennent pour un moment « plaisir », c’est toujours plus facile à vendre ! J’aime aussi le milieu de l’automobile.
- Vous avez plutôt un profil d’investisseur, comment avez-vous organisé l’exploitation au quotidien de vos centres de lavage ?
Mon premier centre n’avait pas de CareBox au début, juste 2 pistes et un portique, je pouvais donc consacrer une demi-heure par jour, à assurer la propreté du centre, à réapprovisionner en produits, et à vider le monnayeur. Je l’ai installé sur une partie disponible du terrain que j’avais acheté pour mes activités immobilières.
Pour créer le 2e centre, j’ai saisi une opportunité : un supermarché voulait vendre sa station de lavage. Elle était dans un sale état mais l’emplacement était très bon. J’ai entièrement transformé la station en centre Astikoto avec des nouvelles machines, nouvelles structures, etc.
Le CA a été multiplié par 6 assez rapidement.
Par la suite, ayant trouvé un opérateur, j’ai ajouté un Care Box sur mon premier centre, et j’ai confié l’exploitation à cette personne.
- Comment jugez-vous la formation apportée par Astikoto lors de votre entrée dans le réseau ?
J’ai appris très vite car j’ai une forte expérience technique. Le format de la formation actuelle est assez récent, et je n’ai pas bénéficié du programme actuel, mais en plusieurs fois, au fur et à mesure du montage de mes centres. Le programme est maintenant bien adapté à tout candidat selon son expérience sur le plan technique, commercial, informatique. L’accent est mis sur la gestion du CareBox. Le plus important est de savoir détecter tout problème et de savoir prendre la bonne décision, il faut aussi pouvoir remplacer l’exploitant s’il est malade. Je travaille de temps en temps dans le CareBox pour ne pas perdre la main.
- Sur le plan financier, quelle analyse faites-vous de l’opportunité d’investissement proposée par Astikoto ?
La trésorerie du premier centre m’a permis d’investir dans le 3e centre avec un apport de l’ordre de 20%, achat du terrain compris. J’ai eu dès le début une vision à moyen-long terme en cherchant avant tout à capitaliser, en constituant des fonds propres avec la totalité des bénéfices. Je ne me payais pas avec le premier centre. Les résultats réalisés correspondent à ceux que j’avais prévus, sans mauvaise surprise. Mon objectif à terme est de pouvoir vivre de mes centres, en gérant autrement mes autres activités.
- Selon votre expérience, quels sont les points forts du concept Astikoto par rapport à la concurrence, pour un investisseur ?
Il s’avère que dans mon passé professionnel, j’ai travaillé pour [une autre marque de centre de lavage, très connue]. Je peux vous dire qu’aujourd’hui, Astikoto n’a rien à voir avec [cette marque], parce que le réseau a été à l’écoute de ses clients, que le lavage est beaucoup plus efficace, que les clients choisissent Astikoto même s’il y a un centre [concurrent] dans la ville.
Mon 3e centre à Ancenis, démarre très bien alors qu’il y a une station [concurrente] aussi à Ancenis, très bien placée.
Quand j’ai créé mon 1e centre, j’ai déposé ma demande de permis de construire en même temps qu’un futur concurrent. Les travaux ont été réalisés dans une course de vitesse pour s’installer avant lui. Il s’est quand même installé, sur le terrain d‘un concessionnaire auto, mais je crois que ça ne marche pas très bien. Le fait qu’Astikoto installe rapidement un centre est pour moi un atout. C’est efficace et carré.
- Quelles sont les difficultés que vous avez rencontrées et qu’a fait le franchiseur pour les anticiper ou vous aider ?
Lors de la création de mon troisième centre, La première difficulté est de trouver un terrain.
J’ai voulu mener seul ma recherche de financement car j’en ai l’expérience avec mes autres activités. Je regrette de ne pas avoir fait appel à l’expert choisi par Astikoto : j’aurais gagné du temps, j’aurais limité ou évité ma caution personnelle et probablement obtenu un meilleur taux !
- En une phrase, comment pourriez-vous résumer votre expérience avec votre enseigne ?
Une belle rencontre à un moment où je commençais à vouloir me reconvertir après 10 ans en tant qu’artisan électricien.
- Quelles sont vos attentes pour la suite ?
Que le développement du centre d’Ancenis continue comme il a commencé, il y a 6 mois !
Pourquoi pas un 4e centre si tout se passe bien, avec la trésorerie générée par les premiers.